L’association L214 fait parler d’elle


Lire surtout le commentaire d’Auger

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L214 dévoile ce mardi les images d’un élevage intensif de cochons situé à Penguily dans les Côtes-d’Armor. Filmées dans les bâtiments de l’EARL de la Ville És Plès, les images montrent des animaux parfois privés d’eau, mais aussi de soins alors qu’ils sont blessés ou agonisants. Des cadavres de plusieurs jours sont laissés au milieu des vivants. Les images montrent également les mutilations infligées aux porcelets de façon routinière : coupe des queues, meulage des dents. Ces pratiques étant illégales, L214 porte plainte contre l’EARL de la Ville És Plès pour sévices graves.

En dehors des cas de négligence et d’abandon, les images montrent des truies et des porcelets vivant dans des conditions d’élevage intensives, incompatibles avec leurs besoins comportementaux et génératrices de stress et d’importantes souffrances.

« L214 lance aujourd’hui un appel à la marque Le Cochon de Bretagne, qui s’approvisionne auprès de l’élevage de la Ville Ès Plès, et plus largement aux entreprises commercialisant de la viande de cochon afin qu’elles s’engagent publiquement à respecter d’ici 2030 les critères du Pig Minimum Standards, un référentiel soutenu par plusieurs associations de défense des animaux » indique l’ONG qui, si elle dévoile ces vidéos et photos de manière « brute », ne s’est toutefois pas confrontée aux éleveurs locaux pour les questionner sur les raisons, et sur la réalité quotidienne de de ce qui avait été filmé.

« Le slogan de Cochon de Bretagne vante des animaux bien nés et bien élevés. Pourtant, dans l’élevage naisseur-engraisseur fournissant la marque, les truies sont enfermées pendant la moitié de leur vie dans des cages individuelles dans lesquelles elles ne peuvent même pas se retourner. Elles y donnent naissance à leurs petits et les y nourrissent, entravées par des barreaux. Certaines sont blessées et laissées sans soins : une truie continue d’allaiter malgré une mamelle arrachée, une autre souffre d’un abcès disproportionné à l’arrière de la patte. Contrairement à la réglementation en vigueur, les porcelets subissent plusieurs mutilations pratiquées de façon systématique : leur queue est coupée, leurs dents sont meulées. Les animaux vivent dans une grande promiscuité, sur un sol de béton ou de plastique ajouré, privés de litière et de tout autre enrichissement. Ils n’accèdent jamais à l’extérieur » indique L214 qui poursuit :

« Ces conditions d’élevage standard, très préjudiciables pour les cochons au regard de nombreux avis scientifiques (EFSA, INRAe et CNRS), représentent malheureusement la norme : en France, 95 % des 24 millions de cochons abattus chaque année sont élevés dans ce type d’élevages intensifs. C’est pourquoi L214 demande à Cochon de Bretagne, à travers une pétition en ligne, de bannir les pires pratiques d’élevage des cochons en s’engageant publiquement à respecter au minimum et d’ici 2030 les critères du Pig Minimum Standards. Cette demande est également adressée à la grande distribution, aux grandes marques, aux chaînes de restauration et aux coopératives »

La suite :

https://www.breizh-info.com/2023/01/24/214287/penguily-22-lassociation-l214-filme-de-nouveau-un-elevage-intensif-de-cochons-en-bretagne/

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Commentaire d’Auger

N’y aurait il pas un problème d’ondes électromagnétiques dû aux infrastructures d’ENEDIS RTE des antennes relais à proximité ou des éoliennes ; de plus en plus d’agriculteurs sont touchés par le problèmes des ondes au point qu’il y a du cannibalisme chez les porcs , des amaigrissements et la mort, chez les bovins la production de lait baisse, les avortements sont nombreux, les mammites ; morts nombreuses aussi en bovin viande : c’est pareil, pas de croissance, pas de consommation d’eau, amaigrissement, poil piqué et mort aussi. il y a aussi des clusters de cancers pédiatriques comme à Sainte-Pazanne, dans le haut forez à Lyon, à Marseille etc etc à chaque fois des lignes électriques passent à proximité.
j’en ai discuté avec des responsable d’ENEDIS et de l’ANSES ils m’ont dit que malgré qu’ils avaient dit qu’il n’y avait pas de lien de causalité dans leur rapport, la vérité est tout autre selon leurs dire ; ils m’ont clairement dit que leur rapport était mensonger, que les sommes d’argent en jeu était trop importante .